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Retour à la page d'accueil du nouveau sitesamedi 22 mars 2014
lundi 3 mars 2014
Retour sur la manifestation du 22 février 2014
Les liens vers les albums photos, vidéos, communiqués de presse qui relatent la manifestation du 22 février 2014.
De nombreux articles et témoignages dans la revue de presse.
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Infos/Intox from Résistances nddl on Vimeo.
Communiqués de presse
De nombreux articles et témoignages dans la revue de presse.
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Communiqués de presse
- Communiqué de l'ACIPA (27/02/2014)
- Communiqué commun des différentes composantes de la lutte (27/02/2014)
- Notre Dame des Landes , c’est toujours non ! - Communiqué du CéDpa (25/02/2014)
- Une mobilisation agricole sans précédent - Communiqué de presse de l'ADECA (25/02/2014)
- Mobilisation sans précédent le samedi 22 février - Communiqué du COPAIN (25/02/2014)
- Communiqué des organisateurs de la manifestation (22/02/2014)
- Lettre ouverte de Françoise Verchère à Manuel Valls (24/02/2014)
- Qui sème le vent, récolte la tempête – Communiqué CGT Nantes-Métropole (26/02/2014)
- Pour la première fois des tritons ont manifesté ! - Communiqué Naturalistes en Lutte (27/02/2014)
- Notre-Dame-des-Landes : ni travaux, ni expulsions ! Nous serons là ! – Communiqué ATTAC (27/02/2014)
- Communiqué du MEI - Manifestation du 22 février (28/02/2014)
vendredi 28 février 2014
Communiqué du MEI - Manifestation du 22 février
Le samedi 22 février 2014 à Nantes, le MEI s’est joint aux 50 000 manifestants pacifiques de tous âges venus (de toute la France, accompagnés par les agriculteurs et leurs 520 tracteurs) pour dire son opposition au projet d'aéroport de NDDL.
La manifestation a malheureusement été aussi le lieu de scènes de violences inacceptables, que le MEI condamne. En revanche il faut néanmoins s’interroger sur les responsabilités des uns et des autres, et, à ce sujet, le MEI appelle à une grande prudence. Qui a décidé de modifier le tracé de la manifestation pour défiler devant les bureaux de Vinci ? Pourquoi les forces de l’ordre étaient-elles absentes lorsque les casseurs entraient en action (bris de vitres ou ramassage de pavés) sous les caméras de télévision pour intervenir finalement trop tard et de façon si spectaculaire ?
L’aéroport actuel offre des possibilités d’aménagements à moindre coût tant financier qu’écologique : de nombreuses études le prouvent, avec des arguments raisonnés qui ont été très faiblement diffusés par la presse et encore moins via les grands médias.
Le MEI appelle solennellement le gouvernement à prendre en compte la solution alternative de la rénovation de l’aéroport actuel de Nantes Atlantique. Cette option représenterait une belle sortie de crise, bienvenue au regard de la situation économique de notre pays. Par son obstination le gouvernement porte une part de responsabilité dans les dérapages violents qui accompagnent l’évolution du dossier de Notre Dame des Landes
Antoine Waechter
La manifestation a malheureusement été aussi le lieu de scènes de violences inacceptables, que le MEI condamne. En revanche il faut néanmoins s’interroger sur les responsabilités des uns et des autres, et, à ce sujet, le MEI appelle à une grande prudence. Qui a décidé de modifier le tracé de la manifestation pour défiler devant les bureaux de Vinci ? Pourquoi les forces de l’ordre étaient-elles absentes lorsque les casseurs entraient en action (bris de vitres ou ramassage de pavés) sous les caméras de télévision pour intervenir finalement trop tard et de façon si spectaculaire ?
L’aéroport actuel offre des possibilités d’aménagements à moindre coût tant financier qu’écologique : de nombreuses études le prouvent, avec des arguments raisonnés qui ont été très faiblement diffusés par la presse et encore moins via les grands médias.
Le MEI appelle solennellement le gouvernement à prendre en compte la solution alternative de la rénovation de l’aéroport actuel de Nantes Atlantique. Cette option représenterait une belle sortie de crise, bienvenue au regard de la situation économique de notre pays. Par son obstination le gouvernement porte une part de responsabilité dans les dérapages violents qui accompagnent l’évolution du dossier de Notre Dame des Landes
Antoine Waechter
jeudi 27 février 2014
Communiqué commun des diverses composantes de la lutte - jeudi 27 février 2014
Samedi 22 février, la manifestation contre le projet d’aéroport de Notre Dame des Landes a été le rassemblement le plus massif depuis les 40 ans que dure cette lutte. Nous étions 50 000 ! La présence paysanne était sans précédent avec ses 520 tracteurs. Les comités de soutien sont venus nombreux dans plus de 65 cars.
Des centaines d’initiatives, chars, masques, banderoles et panneaux montrent l’implication de milliers de personnes dans cet évènement.
Une telle démonstration de force n’est évidemment pas pour plaire au gouvernement qui sort ses armes : focalisation sur la question des affrontements occultant les autres initiatives, accusations contre les associations et organisations organisatrices, menaces de nouvelles expulsions, flashballs, lacrymos, grenades assourdissantes faisant de nombreux blessés.
Si le mouvement est traversé d’opinions diverses sur les moyens de lutter, si les affrontements ont suscité parmi nous de vigoureux débats en assemblée, nous restons unis sur le terrain et tenons à réaffirmer notre détermination commune à défendre la zone ensemble face à d’éventuels travaux ou expulsions.
Des centaines d’initiatives, chars, masques, banderoles et panneaux montrent l’implication de milliers de personnes dans cet évènement.
Une telle démonstration de force n’est évidemment pas pour plaire au gouvernement qui sort ses armes : focalisation sur la question des affrontements occultant les autres initiatives, accusations contre les associations et organisations organisatrices, menaces de nouvelles expulsions, flashballs, lacrymos, grenades assourdissantes faisant de nombreux blessés.
Si le mouvement est traversé d’opinions diverses sur les moyens de lutter, si les affrontements ont suscité parmi nous de vigoureux débats en assemblée, nous restons unis sur le terrain et tenons à réaffirmer notre détermination commune à défendre la zone ensemble face à d’éventuels travaux ou expulsions.
Communiqué de presse de l’ACIPA – Jeudi 27 février 2014
L’ACIPA remercie toute la population des environs immédiats de Notre-Dame-des-Landes et tous les comités de soutien venus de la France entière en car, pour leur présence massive à la manifestation du 22 février.
L’ACIPA condamne la violence organisée, tolérée par des forces de police prenant elles-mêmes en otage des familles entières sous des pluies de grenades lacrymogènes, ce qui s’est traduit d’une part par la détérioration de biens publics et privés qui ont jeté le discrédit sur l’énorme succès de notre mobilisation et d’autre part – et surtout – par de nombreux blessés parmi les manifestants venus participer à un rassemblement inter-générationnel, familial, joyeux et pacifique comme annoncé.
Aujourd’hui, nous pensons aux très nombreux blessés (dont des enfants !) et aux 2 personnes ayant perdu un œil suite aux tirs de flashballs. Qu’ils soient assurés de tout notre soutien ! Nous ne pouvons donner de chiffres sur le nombre de blessés mais les témoignages continuent d’affluer posant de vraies questions sur la gestion de cette manifestation par les services de l’État. C’est un scandale d’État qui s’accentue avec l’esprit de délation qui se met en place !
A Monsieur Auxiette, qui ose dire que l’accord politique signé après la grève de la faim de plusieurs de nos camarades en mai 2012, est caduc, nous disons que c’est un mensonge éhonté ! Cet accord a été réalisé à la demande de François Hollande lui-même, conclu et signé avec les opposants par les représentants des 3 collectivités que sont le Conseil Régional (Jacques Auxiette), le Conseil Général (Philippe Grosvalet) et Nantes Métropole (Jean Marc Ayrault). Cet accord stipulait qu’il n’y aurait pas d’expulsion possible pour les paysans en activité sur la zone et les habitants ayant un titre de bail au moment de la DUP de 2008, tant que certains recours ne seraient pas épurés. Il reste toujours un pourvoi en cassation concernant l’ordonnance d’expropriations qui ne peut être examiné tant que les recours liés à l’arrêté de cessibilité ne seront pas jugés au Tribunal Administratif et au Conseil d’État.
Concernant le volet juridique, nous attendons sereinement le jugement des recours déposés contre les arrêtés préfectoraux de décembre 2013 au titre de la Loi sur l’Eau et des espèces protégées. La méthode de compensation, invalidée dans sa globalité par le comité d’experts scientifiques sollicité, ne devrait pas être entérinée sauf à constituer un nouveau passage en force de l’État. L’Europe n’a pas dit son dernier mot non plus : les pétitions des opposants sont toujours ouvertes à ce jour.
Nous réaffirmons notre opposition totale au projet de nouvel aéroport à Notre-Dame-des-Landes et nous continuerons sans relâche notre travail d’information à la population, notamment lors des réunions d’information organisées par les comités de soutien. Nous soutiendrons également les travaux du groupe de travail technique sur les Plans d’Exposition au Bruit prévisionnels et l’aménagement de Nantes Atlantique.
Enfin, nous appelons à une extrême vigilance sur la ZAD. Nous y serons présents pour défendre et protéger les paysans, les habitants et les terres agricoles menacés d’expulsion ou de destruction, dès qu’il le faudra !
L’ACIPA condamne la violence organisée, tolérée par des forces de police prenant elles-mêmes en otage des familles entières sous des pluies de grenades lacrymogènes, ce qui s’est traduit d’une part par la détérioration de biens publics et privés qui ont jeté le discrédit sur l’énorme succès de notre mobilisation et d’autre part – et surtout – par de nombreux blessés parmi les manifestants venus participer à un rassemblement inter-générationnel, familial, joyeux et pacifique comme annoncé.
Aujourd’hui, nous pensons aux très nombreux blessés (dont des enfants !) et aux 2 personnes ayant perdu un œil suite aux tirs de flashballs. Qu’ils soient assurés de tout notre soutien ! Nous ne pouvons donner de chiffres sur le nombre de blessés mais les témoignages continuent d’affluer posant de vraies questions sur la gestion de cette manifestation par les services de l’État. C’est un scandale d’État qui s’accentue avec l’esprit de délation qui se met en place !
A Monsieur Auxiette, qui ose dire que l’accord politique signé après la grève de la faim de plusieurs de nos camarades en mai 2012, est caduc, nous disons que c’est un mensonge éhonté ! Cet accord a été réalisé à la demande de François Hollande lui-même, conclu et signé avec les opposants par les représentants des 3 collectivités que sont le Conseil Régional (Jacques Auxiette), le Conseil Général (Philippe Grosvalet) et Nantes Métropole (Jean Marc Ayrault). Cet accord stipulait qu’il n’y aurait pas d’expulsion possible pour les paysans en activité sur la zone et les habitants ayant un titre de bail au moment de la DUP de 2008, tant que certains recours ne seraient pas épurés. Il reste toujours un pourvoi en cassation concernant l’ordonnance d’expropriations qui ne peut être examiné tant que les recours liés à l’arrêté de cessibilité ne seront pas jugés au Tribunal Administratif et au Conseil d’État.
Concernant le volet juridique, nous attendons sereinement le jugement des recours déposés contre les arrêtés préfectoraux de décembre 2013 au titre de la Loi sur l’Eau et des espèces protégées. La méthode de compensation, invalidée dans sa globalité par le comité d’experts scientifiques sollicité, ne devrait pas être entérinée sauf à constituer un nouveau passage en force de l’État. L’Europe n’a pas dit son dernier mot non plus : les pétitions des opposants sont toujours ouvertes à ce jour.
Nous réaffirmons notre opposition totale au projet de nouvel aéroport à Notre-Dame-des-Landes et nous continuerons sans relâche notre travail d’information à la population, notamment lors des réunions d’information organisées par les comités de soutien. Nous soutiendrons également les travaux du groupe de travail technique sur les Plans d’Exposition au Bruit prévisionnels et l’aménagement de Nantes Atlantique.
Enfin, nous appelons à une extrême vigilance sur la ZAD. Nous y serons présents pour défendre et protéger les paysans, les habitants et les terres agricoles menacés d’expulsion ou de destruction, dès qu’il le faudra !
mardi 25 février 2014
Notre Dame des Landes , c’est toujours non ! - Communiqué du CéDpa
Ce 24 février, les élus du CéDpa viennent de réitérer leur demande de rendez-vous à Monsieur le Préfet, en attente depuis fin novembre. Pour évoquer le fond du dossier et lui faire part de leur mécontentement sur la manière dont le débat avec la Direction Générale de la Direction civile a été biaisé, mais aussi pour lui demander confirmation des propos qu’il semble avoir tenus en conférence de presse à la suite de la manifestation du samedi 22 février.
En effet, dire que les opposants dont nous sommes doivent « cesser d’être la vitrine légale d’un mouvement armé » est non seulement ridicule mais aussi insultant. Nous avons appelé à la manifestation populaire du 22 février et nous ne le regrettons pas. Nous ne sommes pas responsables des échauffourées qui ont eu lieu, car nous ne sommes pas, jusqu’à preuve du contraire, chargés du maintien de l’ordre. Certes, nous condamnons les actes de vandalisme mais, dans le même temps, nous avons de nombreuses interrogations sur la manière dont la Préfecture a observé et laissé faire ces débordements.
Opposés à la construction de cet aéroport pour des raisons économiques et écologiques, nous avons toujours travaillé avec le souci de la transparence et dans la recherche de la vérité. Nous sommes bien obligés de constater aujourd’hui que ce n’est pas ce qui préside au pseudo dialogue mis en place par le Premier Ministre et le Ministre des Transports. Nous entendons aujourd’hui que les partisans de l’aéroport voudraient justifier le début des travaux par les débordements de samedi ! Les dégâts - réels et choquants - ne peuvent valoir justification pour faire disparaître irrémédiablement une zone humide remarquable pour réaliser un équipement inutile. Nous ne nous laisserons pas enfermer dans ce piège et continuerons à faire toute la vérité sur les mensonges et les faux arguments qui fondent aujourd’hui la « vérité officielle » du projet d’aéroport.
En effet, dire que les opposants dont nous sommes doivent « cesser d’être la vitrine légale d’un mouvement armé » est non seulement ridicule mais aussi insultant. Nous avons appelé à la manifestation populaire du 22 février et nous ne le regrettons pas. Nous ne sommes pas responsables des échauffourées qui ont eu lieu, car nous ne sommes pas, jusqu’à preuve du contraire, chargés du maintien de l’ordre. Certes, nous condamnons les actes de vandalisme mais, dans le même temps, nous avons de nombreuses interrogations sur la manière dont la Préfecture a observé et laissé faire ces débordements.
Opposés à la construction de cet aéroport pour des raisons économiques et écologiques, nous avons toujours travaillé avec le souci de la transparence et dans la recherche de la vérité. Nous sommes bien obligés de constater aujourd’hui que ce n’est pas ce qui préside au pseudo dialogue mis en place par le Premier Ministre et le Ministre des Transports. Nous entendons aujourd’hui que les partisans de l’aéroport voudraient justifier le début des travaux par les débordements de samedi ! Les dégâts - réels et choquants - ne peuvent valoir justification pour faire disparaître irrémédiablement une zone humide remarquable pour réaliser un équipement inutile. Nous ne nous laisserons pas enfermer dans ce piège et continuerons à faire toute la vérité sur les mensonges et les faux arguments qui fondent aujourd’hui la « vérité officielle » du projet d’aéroport.
Une mobilisation agricole sans précédent - Communiqué de presse de l'ADECA
Communiqué de presse de l'ADECA - mardi 25 février
L'ADECA réunie tient à remercier les agriculteurs et les CUMA venus en tracteur, et évidemment, les marcheurs venus eux aussi en masse pour refuser ce projet de déplacement d'aéroport.
520 tracteurs, c'est un niveau que nous n'avons jamais connu dans aucune action ; Ils ont répondu à l'appel du collectif COPAIN et au nôtre.
Cet immense refus du gaspillage des terres n'a pas été relayé par la presse qui a donné la priorité aux violences; pas un chiffre, pas une évocation, pas une photo. Et pourtant, cette mobilisation agricole est un immense camouflet pour le premier ministre. Camouflet aussi l'ampleur de la mobilisation populaire, chacun sait qu'il faut multiplier les chiffres de la préfecture par trois pour approcher la réalité.
L'ADECA réunie tient à remercier les agriculteurs et les CUMA venus en tracteur, et évidemment, les marcheurs venus eux aussi en masse pour refuser ce projet de déplacement d'aéroport.
520 tracteurs, c'est un niveau que nous n'avons jamais connu dans aucune action ; Ils ont répondu à l'appel du collectif COPAIN et au nôtre.
Cet immense refus du gaspillage des terres n'a pas été relayé par la presse qui a donné la priorité aux violences; pas un chiffre, pas une évocation, pas une photo. Et pourtant, cette mobilisation agricole est un immense camouflet pour le premier ministre. Camouflet aussi l'ampleur de la mobilisation populaire, chacun sait qu'il faut multiplier les chiffres de la préfecture par trois pour approcher la réalité.
Vu l'ampleur annoncée de la mobilisation, vu la catastrophe écologique que constituerait ce projet et l'impossibilité de mettre en œuvre, les compensations, ce projet est en train de mourir.
La seule issue pour les porteurs du projet est de discréditer le mouvement par la violence, en particulier auprès des Nantais. Comme par hasard, la violence a été au rendez vous et n'a été maîtrisée que tard après de nombreux dégâts,
Nous avons eu peur pour les militants et pour notre matériel. Nous comprenons donc, et partageons le désarroi des Nantais devant les dégâts. La violence ne fait pas partie de nos modes d’action.
Mais cette journée ressemble trop à un plan bien préparé: samedi violences, dimanche attaques contre les opposants et les écologistes, lundi, mardi : communication sur les dégâts et on pourra ainsi continuer à essayer d'imposer ce projet.
Nous avons le sentiment d'avoir été pris en otage par d’un côté cent ou deux cent casseurs qui ont fait ce que le pouvoir attendait, et de l’autre par la police dont l’inefficacité était surprenante. Ainsi, ont étés tuées, l’ampleur et la visibilité de cette manifestation.
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